Vous consommez des drogues, de l’alcool ou vous êtes sous traitement de substitution
La consommation de drogues, d’alcool ou la prise de traitements de substitution ne sont pas des obstacles pour traiter son hépatite C (voir la brochure « Être hépatant » n° 10).
Il n’existe pas non plus de contre-indications avec les traitements de substitution.
Vous pouvez contacter le Centre d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues (CAARUDLes Centres d’Accueil et d’Accompagnement à la Réducti...) ou le Centre de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPALes Centre de Soins, d’Accompagnement et de Prévention en...) de votre région afin qu’il vous accompagne et vous guide dans les démarches à suivre pour rencontrer un spécialiste.
ASUD, l’auto-support des usagers de drogues, propose sur son site une plateforme Drogues et hépatite C. Elle est destinée à tous ceux qui se posent des questions sur cette maladie et en particulier aux consommateurs de drogues qui représentent une population particulièrement touchée par le virus. Vous y trouverez des fiches pratiques d’information, des outils pour témoigner et la possibilité d’échanger avec d’autres personnes sur ce sujet, notamment via un forum accessible à tous.
- Pour trouver une structure près de chez vous, vous pouvez consulter l’annuaire de Drogues info services.
- Et cliquez ici pour accéder à la plateforme d’Asud.
Aujourd’hui, avec les nouveaux traitements, le suivi n’est pas contraignant. C’est donc une bonne chose de tenter de vous débarrasser de votre virus, votre foie vous en sera reconnaissant.