LES RÉSULTATS DES PREMIERS ÉTATS GÉNÉRAUX DE L’HÉPATITE B

Mise à jour le 29.02.2024 

Publication des résultats des 1ers Etats généraux de l’hépatite B, 3 ans sont déjà passés !

Découvrez aujourd’hui et partagez avec les personnes concernées :

🟡 Ecoutons la voix des personnes vivant avec une hépatite B, les hépatant.e.s B !

       

       

       

🟡 Portons tous ensemble l’information, la déstigmatisation des hépatites B et D (delta), leur élimination et la défense des malades !

🟡 Etats généraux relayés par Santé Publique France : https://soshepatites.org/les-etats-generaux-de-lhepatite-b-relayes-par-sante-publique-france/

🟡 FORUM SOS Hépatites & Maladies du foie 2022 Table ronde, Hépatites B et D (delta).

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Dans le monde, le virus de l’hépatite B (VHB) est responsable de 900 000 décès par an et plus de 290 millions de personnes vivent avec une hépatite B chronique (selon les données 2019 de l’OMS). Largement répandu dans certains pays d’Asie, d’Afrique subsaharienne ou d’Amérique latine, il est moins fréquent en France où il tue cependant 1 300 personnes chaque année et affecte en permanence la qualité de vie de dizaines de milliers d’autres. Les estimations font état de 135 000 personnes en population générale métropolitaine vivant avec une hépatite B chronique mais la part de celles connaissant leur infection a été estimée à 17,5 % (selon les données 2016 de Santé publique France). Il existe pourtant une offre de dépistage, un vaccin très efficace et, lorsque la personne n’a pas été protégée à temps, au stade de l’infection chronique des traitements permettant de contrôler la maladie si nécessaire.

Une maladie meurtrière, mais facilement évitable ; une maladie contre laquelle il est possible d’agir efficacement, mais dont on ne parle pas assez. On parle encore moins du virus de l’hépatite D ou delta qui a besoin de la présence du VHB pour se multiplier. Environ 5 % des patients ayant une hépatite chronique B sont infectés par le virus de l’hépatite D. Ils souffrent d’hépatites plus sévères, avec une évolution vers la cirrhose et le cancer plus fréquente et plus précoce… C’est face à cette situation paradoxale qu’ont voulu réagir les acteurs des États Généraux de l’Hépatite B, organisés à l’initiative de la Fédération SOS hépatites.

Au total, près de 500 personnes ont été mobilisées au cours d’un processus ayant duré plus d’un an ! Les États Généraux de l’Hépatite B représentent une initiative inédite de démocratie sanitaire à l’initiative des patients justifiant pleinement leur appellation d’hépatants.

Les États généraux ont permis :

  1. De partager les informations les plus récentes sur l’hépatite B
  2. aux acteurs des structures médico-sociales de mieux appréhender la question du suivi médical ou des traitements
  3. aux soignants de s’intéresser de plus près aux problèmes d’accès aux soins des migrants
  4. à toutes et à tous de mieux entendre la voix des patients en métropole et dans certains départements et régions d’Outre-Mer
  5. La formulation d’une quarantaine de propositions concrètes pour une politique de lutte contre l’hépatite B plus efficace et plus à l’écoute des besoins des patients regroupées en 6 familles d’actions prioritaires.

Découvrez la richesse des données recueillies et les propositions :

L’HÉPATITE B VUE PAR LES HÉPATANT.E.S : DIX LEÇONS À RETENIR
Un objectif majeur des États généraux était de mieux connaître le “vécu” de l’hépatite B par ceux qui en étaient atteints, de comprendre à la fois leur perception de la maladie et leurs attentes. Un questionnaire a été élaboré, comprenant une cinquantaine de questions. Près de 200 personnes y ont répondu. Les résultats détaillés sont accessibles dans le document de synthèse des États généraux (page 35). Nous avons sélectionné ici les 10 leçons principales que l’on peut en retenir.

  1. Tant qu’on n’est pas dépisté, on ne se sent pas concerné. 81 % des personnes interrogées ne se sentaient pas concernées par l’hépatite B avant leur dépistage positif. Voilà bien la première leçon de cette étude : l’hépatite B, c’est pour les autres… jusqu’au moment où le diagnostic tombe.
  2. Une fois qu’on est dépisté, la maladie génère de fortes craintes, pour soi mais aussi pour les autres. Lorsqu’on leur demande ce qui est le plus difficile à vivre, parmi les répercussions de l’hépatite B, 59 % des répondants citent l’incertitude sur l’évolution de la maladie et 57 % la peur du cancer. Avec 56 % des citations, la peur de contaminer d’autres personnes suit juste derrière.
  3. L’impact de l’hépatite B sur la vie personnelle est réel. C’est une leçon majeure de l’enquête : pour 50 % des répondants, l’hépatite B a un impact sur le moral (25 % de façon importante, 25 % de façon modérée). Et, pour 42 %, elle a un impact sur l’image qu’ils ont d’eux-mêmes. Sont également cités l’impact sur la vie professionnelle, cité par 31 % des personnes, l’impact sur la vie de famille (30 %), sur la vie sexuelle (29 %) et sur la vie de couple (26 %).
  4. Un.e hépatant.e sur deux peut compter sur le soutien de son conjoint. Face à ces difficultés, sur qui peut-on compter ? Le premier soutien est le conjoint, cité par 46 % des personnes, devant le médecin (33 %), la famille ou les amis. Les répondants évoquent aussi une multitude d’intervenants et de structures de soutien précieuses (services sociaux, pharmaciens, réseaux caritatifs, associations de réduction des risques, etc.). Mais 23 % des répondants ne citent personne qui les aide ou les soutienne au quotidien.
  5. Le médecin est le premier informateur. 76 % des hépatant.e.s interrogé.e.s déclarent recevoir des informations sur la maladie en consultation médicale, 38 % en faisant leurs propres recherches. Grâce à cela, ils se considèrent dans leur grande majorité (79 %) capables de suivre l’évolution de leur maladie.
  6. Les modes de transmission sont plutôt bien connus. Globalement, les hépatant.e.s B connaissent les trois principaux modes de transmission du virus : la transmission lors d’une relation sexuelle non protégée (89 % citent ce mode de transmission), la transmission par l’échange de sang entre deux personnes (88 %) et la transmission de la mère à l’enfant, lors de l’accouchement (78 %).
  7. Parler de la maladie à ses proches, ce n’est pas toujours facile. 74 % des personnes interrogées ont parlé de l’hépatite B et de sa prévention avec leurs proches. Ils l’ont fait d’abord « pour être honnêtes » (raison citée par 73 % des personnes concernées), ensuite « pour les inciter à se faire dépister » (55 %) et/ou « les inciter à se faire vacciner » (50 %). Lorsqu’ils n’ont pu parler à leur entourage, c’est majoritairement « par crainte d’être rejetés » (70 % des citations).
  8. La confiance dans le vaccin est imparfaite, même chez les hépatant.e.s B. Contre l’hépatite B, le plus efficace des outils de prévention est le vaccin. Signe des temps, la défiance contre ce vaccin s’infiltre jusque chez les personnes atteintes d’hépatite B : 24 % des répondants disent « ne pas avoir confiance » et 7 % préfèrent ne pas se prononcer.
  9. Le suivi au long cours manque parfois de continuité. Suite au dépistage positif, 85 % des répondants confirment avoir réalisé un examen du foie (prise de sang, échographie, biopsie du foie, etc.). Mais l’hépatite chronique B appelle aussi un suivi au long cours pour surveiller l’évolution de la fibrose et une éventuelle cirrhose. Dans notre échantillon (pourtant probablement bien mieux suivi que la moyenne des patients en France), seuls 65 % des répondants réalisent une échographie au moins une fois par an, et 9 % à une autre fréquence. C’est insuffisant !
  10. Les besoins d’information demeurent importants. Lorsque les usagers sont interrogés sur leurs besoins pour mieux gérer leur hépatite B et améliorer leur quotidien, deux demandes ressortent quasi à égalité : être mieux informé sur la maladie en général (67 %), mais également « être mieux informé sur ce que l’on peut manger et boire » (68 %).

NASHLETTER N°31 – FÉVRIER 2024

ÉDITO :                                                              

Suis-je malade ? C’est la question que peuvent se poser les 8,5 millions de Français, porteurs d’une stéatose hépatique. Moins de 10 % d’entre eux sont réellement malades du foie.
Qui sont ces malades ? Comment optimiser le dépistage ? Quel est leur portrait-robot ? Ce sont celles que se posent tous les hépatologues.
Les débats ont tourné autour de ces questions lors du deuxième séminaire GO NASH qui s’est tenu à Angers en janvier.
Nous vous rapportons ici ce qui nous a semblé le plus intéressant pour les malades, à savoir :
– Quels sont les outils non invasifs permettant le dépistage de la NASH et surtout de la fibrose ?
– Quel sera le parcours de soins idéal pour ne pas saturer les consultations en hépatologie ?
– Quid des traitements encore en phase de développement ?
Même si diététique et activité physique resteront la pierre angulaire de la prise en charge, les monothérapies arrivent. Elles ne seront sans doute pas suffisantes, l’avenir des traitements sera peut-être dans des combinaisons thérapeutiques.
La prévention pour ne pas devenir malade et le dépistage pour ne pas atteindre des stades graves de fibrose demeurent les clefs de la lutte contre la NASH.
Voilà un sujet que SOS hépatites & maladies du foie connaît bien : que l’hépatite soit due à un virus, à l’alcool ou aujourd’hui la NASH, au final, l’acteur principal est toujours le foie et sans prise en charge, les conséquences seront les mêmes.
Sachez-bien, agresseurs du foie, que vous trouverez toujours SOS hépatites & maladies du foie pour vous barrer la route !
#JuinSansSucresAjoutés
#LeGuideAntiNASH

Pascal Mélin, Président de la Fédération SOS hépatites & maladies du foie

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NASHLETTER N°30 – JANVIER 2024

ÉDITO :                                                              

L’évènement de janvier, c’est le nouveau Nutri-Score ! 
Beaucoup de consommateurs émettaient des réserves sur les méthodes de calcul du Nutri-Score et les notes qu’il attribuait aux produits, il semblerait qu’ils aient été entendus. Les algorithmes ont été retravaillés et sont désormais plus en phase avec les recommandations alimentaires européennes.
Et, lorsque le Nutri-Score distinguera en plus les aliments ultra-transformés, fortement suspectés d’alimenter la MASH, ce sera encore mieux ! Mais, step by step, Rome ne s’est pas faite en un jour !
Les Français sont très friands d’applications dites de scoring alimentaire, c’est à dire les applis d’aide à faire les courses. Selon une enquête Nielsen de 2019, 55% des foyers de notre pays en utilisent au moins une.
On ne peut qu’applaudir devant cet engouement, cela signifie que les consommateurs s’intéressent à ce qu’ils mettent dans leur assiette, c’est un premier pas sur le chemin de l’équilibre alimentaire : moins de sucres, moins de sel, moins de graisses saturées.
Cependant, aucune d’elles n’est parfaite et ne doit remplacer le bons sens, les recommandations du PNNS sont une source supplémentaire d’aide à faire les meilleurs choix en matière d’alimentation. 
Mais, bien s’alimenter c’est aussi lié à ses moyens financiers et vous verrez dans cette NASHLETTER, que les personnes les plus pauvres sont les plus touchées par la MASLD.
La nourriture de qualité est déjà chère, lorsqu’il faut ajouter la facture énergétique, c’est un obstacle supplémentaire ! 
Faire mijoter un plat sur une plaque de gaz ou faire cuire un rôti au four coûte plus cher que de passer un plat une minute au micro-ondes. 
Pour les plus précaires, choisir entre juste « se nourrir » ou s’alimenter selon les recommandations pour recouvrer sa santé est un vrai dilemme.
#JuinSansSucresAjoutés
#LeGuideAntiNASH

Pascal Mélin, Président de la Fédération SOS hépatites & maladies du foie

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NASHLETTER N°29 – DÉCEMBRE 2023

ÉDITO :                                                              

Quand on dit décembre, on pense trop !
Le mois de décembre, c’est le mois de trop ! Trop froid pour se bouger, trop de sollicitations pour trop boire et trop manger… On aurait presqu’envie d’hiberner comme certains animaux, et d’ailleurs, les observer devrait parfois nous inspirer.
Les derniers congrès nous apprennent qu’il y a maintenant un portrait-robot du patient à dépister en priorité, celui avec une fibrose avancée. Sauriez-vous le reconnaître dans la glace, ça pourrait être vous ou votre voisin ? Et si vous n’êtes pas concerné aujourd’hui, vous le serez peut être demain. L’épidémie de diabète ne cesse de progresser sur la planète et au sein de celle-ci, celle de la stéatose explose, pourquoi ? Probablement à cause de la malbouffe ! L’absence de traitement aujourd’hui fait que les régimes sont de plus en plus étudiés à la loupe et des pistes commencent à se dessiner.
À SOS, nous aimons les rencontres et les histoires, c’est la raison pour laquelle nous continuons de suivre celle de Kévin, mais cette fois, c’est lui-même qui a souhaité nous parler de son parcours.
Le sucre, les aliments ultra transformés, la présomption d’innocence vacille de plus en plus les concernant, mais soyons légers avant les fêtes, connaissez-vous le Food Hack ?
Et bien sûr, dans la NASHLETTER, comme chaque mois, vos questions, nos réponses, et nous comptons bien continuer en 2024, et vous ? Vous nous suivrez ?
Belles fêtes de fin d’année à toutes et tous !
JuinSansSucresAjoutés
LeGuideAntiNASH

Pascal Mélin, Président de la Fédération SOS hépatites & maladies du foie

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L’HÉPATANTE N°73 – ÉDITION SPÉCIALE

ÉDITO

Entre indignations et propositions.
C’est la marque de fabrique de notre Forum National : écouter, réfléchir, témoigner et revendiquer. Nous avons construit notre Forum 2023 entre virus et NASH, entre passé et avenir.
Indignés de voir que l’éradication virale de l’hépatite C ne sera pas pour 2025,
Indignés de constater l’inégalité homme-femme en hépatologie,
Indignés de voir que le cancer du foie est le plus souvent diagnostiqué trop tard,
Mais, nous avons écouté et réfléchi sur la prise en charge des malades du foie à Montréal, au Canada. Nous avons réfléchi sur les recueils épidémiologiques de Santé publique France, sur les nouvelles expériences de dépistage de l’hépatite B, sur les progrès de la radiologie et de l’intelligence artificielle.
Les témoignages des équipes et des patients nous poussent à comprendre les nouvelles maladies comme l’hépatite E ou la NASH, et le retour sur 50 années d’hépatologie.
Nous avons réalisé des enquêtes et avons proposé « le mois de Juin sans sucres ajoutés ».
Mais en 2024, nous voulons aller plus loin. Nous allons travailler et réfléchir sur tout ce que ce Forum 2023 nous a appris et dans quelques temps nous rendrons public notre nouvelle plateforme de revendications.
Surtout, faites-vous votre propre opinion en regardant les vidéos de notre 24e Forum National !
#MonFoieJeLAime

Pascal Mélin, Président de Fédération SOS hépatites & maladies du foie

L’HÉPATANTE N°73 – ÉDITION SPÉCIALE

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NASHLETTER N°28 – NOVEMBRE 2023

ÉDITO :                                                              

Qui a dit qu’il était normal de prendre quelques kilos en hiver ? Ce serait une adaptation naturelle du métabolisme pour mieux se protéger du froid. Si c’est réellement le cas, le réchauffement climatique devrait régler le problème.
Méfions-nous des idées reçues et des croyances…
Nous avons sélectionné du dernier congrès d’hépatologie à Boston, les news qui nous ont parues les plus intéressantes à vous partager. D’une part, elles nous informent, et d’autre part, nous obligent à voir la maladie autrement. 
Les Américains insistent beaucoup sur l’importance de la nouvelle nomenclature, ainsi l’objectif est atteint aux USA : plus personne ne souffre de NASH, la maladie n’a pas disparu pour autant, elle a juste changé de nom et s’appelle MASH désormais.
Ne vous moquez pas ! En France, on a fait disparaitre les SDF, ils sont toujours dans la rue, mais sont devenus Sans Domicile Stable… Les noms devraient servir plus à la compréhension qu’à la stigmatisation.
Nous attendons tous le médicament qui révolutionnera les prises en charge de la MASH (NASH). En attendant, les règles restent les mêmes : activité physique, équilibre alimentaire, réduction des consommations d’alcool.
D’ici là, il y a peut-être des molécules existantes qui pourraient nous donner un coup de main, comme l’aspirine ou la vitamine E.
Lutter contre la MASH (NASH), c’est aussi bousculer les lobbies de l’agroalimentaire, c’est ce qu’essaie de faire le plus possible, la NASHLETTER.
À vous de faire savoir, de partager ! Copiez, collez, diffusez, hurlez, dénoncez…
JuinSansSucresAjoutés
LeGuideAntiNASH

Pascal Mélin, Président de la Fédération SOS hépatites & maladies du foie

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FORUM NATIONAL 2023

MERCI POUR VOTRE PARTICIPATION !

Revivez le 24e Forum National avec les vidéos découpées au plus juste des nombreux sujets que nous avons abordés pendant 2 jours, sans oublier les diaporamas des intervenants.

Découvrez notre dernier outil :
Je vis avec l’hépatite B : mon mémo !

Découvrez les posters :
Poster 1 | Poster 2 | Poster 3 | Poster 4 Poster 5 | Poster 6 

Découvrez les brochures des partenaires : 
AbbVie EchosensGilead*  | Roche*
*Co-construction avec SOS hépatites & maladies du foie

Votre évaluation est importanteICI !

La 24ème édition de notre Forum national a eu lieu les 23 et 24 novembre 2023 au Kinepolis Nancy : 3 rue du Maréchal Victor duc de Bellune, 54000 Nancy.
Cette nouvelle édition a été organisée avec le soutien du Pr Jean-Pierre BRONOWICKI, service d’hépato-gastro-entérologie, INSERM U1256, université de Lorraine, CHRU de Nancy et président de la Société Française d’Hépatologie, AFEF ! 

 DÉCOUVREZ LES REPLAY ET LES DIAPORAMAS ! 

JEUDI 23 NOVEMBRE 2023 – HÉPATITES VIRALES
8h30-8h55 : Accueil et visite espace exposants
8h55-9h10 : Mot d’accueil, hommage à Michel BONJOUR et ouverture du 24e Forum
9h10 :
Les hépatites virales de A à E, vers des prises en charge émergentes, Pr Véronique LOUSTAUD-RATTI, Hépatologue, Coordinatrice de la Fédération Hépatologie, CHU Limoges, UMR 1248 – Présidente de la Fédération Nationale des Pôles et des Réseaux Hépatites Virales France, Diaporama 
Les nouvelles recommandations sur les hépatites virales, Dr Françoise ROUDOT-THORAVAL, Hépatologue, Créteil, CHU Henri Mondor, Diaporama 
10h25-10h45 : Pause et visite espace exposants
10h45 :
Les derniers indicateurs épidémiologiques produits par Santé publique France et les travaux en cours, Cécile BROUARD, Épidémiologiste-coordinatrice de la surveillance des hépatites B et C, Direction des Maladies Infectieuses, Unité VIH – Hépatites B/C – IST, Santé publique France, Diaporama
La méthodologie de l’enquête Coquelicot 2022-2023 et des projets d’analyses, Marie JAUFFRET-ROUSTIDE, Sociologue, Chargée de recherche Inserm CEMS (Inserm U1276/CNRS UMR 8236/EHESS/Université Paris Descartes), Diaporama
Les visions et les attentes des malades, Thomas DELBANO, Coordonnateur de Projet – Communications. Centre Associatif Polyvalent d’Aide Hépatite C, Montréal, CAPAHC, Québec, Canada et Pascal MÉLIN, Président de la Fédération SOS hépatites & maladies du foie, Diaporama
Témoignage sur l’hépatologie d’hier, d’aujourd’hui et de demain, Pr Thierry POYNARD, Ancien chef du service d’hépatologie à l’hôpital Pitié-Salpêtrière, Diaporama
12h30-14h : Déjeuner
14h-15h30 : Atelier 1 « Comment dépister, suivre, voire guérir (hépatite C) tout le monde ? »

  • Intervenante 1 : Dr Juliette FOUCHER, Hépatologue, Hôpital Haut-Lévêque, membre de l’équipe de Bordeaux Métropole Sans Hépatite Virale, BMSHV, Diaporama
  • Intervenante 2 : Sylvie EHRHART, Infirmière Education Thérapeutique, Service Hépato Gastro Entérologie, CHRU Nancy, Diaporama
  • Intervenante 3 : Aurélie FÉVRIER, Coordinatrice du Service expert de lutte contre les hépatites de Bretagne, Diaporama
  • Modérateur : Frédéric CHAFFRAIX, Vice-président de la Fédération SOS hépatites & maladies du Foie, Président de SOS hépatites Alsace-Lorraine, responsable du Service Expert de Lutte contre les Hépatites Virales en Alsace, SELHVA 

15h30-15h50 : Pause et visite espace exposants
15h50-17h20 : Atelier 2 « Comment continuer à renforcer l’accompagnement dans l’hépatite B ? »

  • Intervenante 1 : Swati KAKKAR-PERROT, Coordinatrice de l’étude PARTAGE-2 (Prévention, Accès aux droits, Rattrapage vaccinal, Traitement des Affections pendant la Grossesse et pour l’Enfant) & Dr Inès MOLOUFOUKILA, Médecin généraliste, hôpital André Grégoire Montreuil, Diaporama
  • Intervenante 2 : Carmen HADEY, Référente SOS hépatites « hépatite B et vaccination », administratrice Fédération SOS hépatites et SOS hépatites Alsace-Lorraine, Diaporama 
  • Intervenante 3 : Stéphanie VANTIGHEM, Infirmière coordinatrice régionale pour Le Centre Expert Hépatites Education Thérapeutique, CHRU Lille, Diaporama
  • Modératrice : Selly SICKOUT, Directrice de la Fédération SOS hépatites & maladies du Foie

17h20-17h40 : Restitution des ateliers – Fin de la journée 1 du Forum National SOS hépatites 2023

VENDREDI 24 NOVEMBRE 2023 – NASH ET AUTRES MALADIES DU FOIE
8h-8h30 : Accueil et visite espace exposants
8h30-8h40 : Mot d’accueil et ouverture de la 2nde journée du 24e Forum
8h40 :
Regards croisés entre le Président de l’AFEF, le Pr Jean-Pierre BRONOWICKI, Hépatologue, Inserm U1256, université de Lorraine, CHRU de Nancy et le Président de la Fédération SOS hépatites & maladies du foie Pascal MÉLIN, Diaporama
Les progrès en imagerie hépatique et son interprétation, Henri SOUCHAY, Directeur recherche clinique France, GE HealthCare, Diaporama
10h-10h20 : Pause et visite espace exposants
10h20 :
Les Femmes et les maladies du foie, Dr Simona TRIPON, Hépatologue, SELHVA, Diaporama
Cancer du foie : pour une égalité d’accès aux parcours de soins et à l’innovation, Pr Pierre NAHON, Hépatologue oncologue, Hôpital Avicenne, Groupe Hospitalier Paris-Seine Saint-Denis, Diaporama
11h30-13h : Déjeuner
13h-14h30 : Atelier 1. « Le sucre, un nouveau combat à mener ! »

  • Intervenante 1 : Mathilde LECONTE, Déléguée SOS hépatites en Nouvelle-Aquitaine
  • Intervenante 2 : Juliette PONT, Vice-présidente de SOS hépatites Bourgogne Franche-Comté, Rédactrice SOS hépatites & maladies du foie des newsletters Nashletter et Vice Versa
  • Intervenant 3 : Pascal MÉLIN, Président de la Fédération SOS hépatites & maladies du foie
  • Modérateur : Thomas LAURENCEAU, Délégué SOS hépatites en Pays de la Loire, Diaporama

14h30-14h50 : Pause et visite espace exposants
14h50-16h20 : Atelier 2. « Quelles expérimentations sur la mesure de la fibrose en population générale ? »

  • Intervenante 1 : Pr Charlotte COSTENTIN, Hépatologue oncologue, CHU Grenoble-Alpes, Diaporama
  • Intervenant 2 : Dr Denis OUZAN, Gastro-entérologue et hépatologue, Responsable de l’unité d’hépatologie de l’Institut Arnault Tzanck, Saint Laurent Du Var, Président du Réseau Ville Hôpital Hépatite Côte d’Azur, Diaporama
  • Intervenant 3 : Frédéric CHAFFRAIX, Vice-président de la Fédération SOS hépatites & maladies du Foie, Président de SOS hépatites Alsace-Lorraine, responsable du SELHVA, Diaporama
  • Modérateur : Pascal MÉLIN, Président de la Fédération SOS hépatites & maladies du Foie 

16h20-16h40 : Conclusions et fin du Forum National SOS hépatites 2023


  • L’appel à posters est de retour : la date limite est prolongée jusqu’au 1 novembre !

Pour qui : associations de patients, structures sociales et médico-sociales, chercheurs en sciences humaines, sociales, médicales et autres acteurs de santé.
Sur quoi : des sujets spécifiques sur les maladies du foie ou sur des sujets transversaux ; des communications relatives à l’accompagnement, l’éducation en santé, l’éducation thérapeutique, la prise en charge humaine, préventive et multidisciplinaire.
Date limite : vous pouvez soumettre vos résumés jusqu’au 1er novembre 2023 minuit à contact@soshepatites.org. Les propositions sélectionnées pourront faire l’objet de poster (communication affichée).
Règles400 mots maximum (Introduction, Méthode, Résultats, Discussion), liste des auteurs, mots clés en français, police Calibri, taille 12. Les comités d’organisation et de sélection précisent qu’il est souhaitable (et non plus impératif) que l’un des auteurs du poster, qui sera sélectionné, participe au Forum en présentiel. L’inscription est obligatoire, gratuite et sera ouverte prochainement.
Au plaisir de vous lire ! Et pour vous inspirer, n’hésitez pas à regarder les posters présentés l’année dernière : Forum national 2022.


Avec le soutien de :

L’HÉPATANTE N°72 – SEPTEMBRE/OCTOBRE 2023

ÉDITO

À quelques jours de la 24e édition du Forum national SOS hépatites & maladies du foie, qui se tiendra à Nancy, au Kinepolis, les 23 et 24 novembre, en cette veille des 27 ans de notre réseau, ce 11 novembre 2023, découvrez, redécouvrez notre réseau dans cette HÉPATANTE N°72 – SEPTEMBRE/OCTOBRE 2023 : nous nous sommes construits autour des hépatites virales, avec de nombreux militants concernés par l’hépatite C, aujourd’hui nous saluons à nouveau l’objectif national français d’élimination de l’hépatite C à l’horizon 2025, mais nous demandons que le travail contre l’hépatite C soit terminé, qu’il soit renforcé dans l’hépatite B, et que personne ne meurt silencieusement d’une autre maladie du foie ! Prenez connaissance de notre plateforme de propositions politiques sur le sujet de la prévention, du dépistage et de la prise en charge des maladies chroniques et du cancer du foie, publiée en octobre 2023.
Le foie est la mascotte de la prévention, de l’accompagnement, et le reflet de l’état général de chaque individu, nous ne manquons pas à travers nos actions de porter la parole des malades et de proposer des pistes d’amélioration de prise en soin : du partage d’information, tel que la dispensation en pharmacie d’officine du TIXTAR, du partage de nos autres newsletters la NASHLETTER, VICE VERSA ; à nos actions auprès des personnes concernées, de leurs proches et des usagers du système de santé ; à nos expérimentations collectives – #JuinSansSucresAjoutés – sans oublier nos actions interassociatives et celles de représentation des usagers : Liver Cancer Awareness Month, les « RDV santé » pour les demandeurs d’asile, le congrès de l’AFEF 2023, le congrès ATHS 2023, etc.
Merci pour votre confiance, poursuivons nos combats et portons la prévention des maladies du foie, la santé globale et la démocratie en santé ! 

L’équipe rédactionnelle, Fédération SOS hépatites & maladies du foie

L’HÉPATANTE N°72 – SEPTEMBRE/OCTOBRE 2023

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