Pour garantir l’efficacité de certains traitements, il peut être préconisé d’accompagner les prises médicamenteuses d’une collation riche en lipides autrement dit d’une « collation grasse ».
Aujourd’hui votre médecin vous a prescrit un traitement qui doit être pris avec ce type de collation.Le fait de rajouter des collations au cours de la journée va peut-être déséquilibrer
votre alimentation mais cet apport calorique supplémentaire est nécessaire à la bonne efficacité de ces traitements.
Si vous craignez une prise de poids, vous pouvez limiter les quantités de lipides de vos 2 repas principaux (sauces, fromage, desserts…) et les reporter sur les collations afin que celles-ci soient adaptées.
Pour vous aider dans la prise de votre traitement, vous trouverez ci-joint des idées de petits déjeuners et de collations qui apportent entre 10 et 20 g de lipides.
Au gré de vos envies, en fonction des vos habitudes alimentaires et culinaires, de nombreuses autres collations peuvent convenir, il suffit pour cela qu’elles soient suffisamment riches en matières grasses.
Si vous avez des questions sur votre alimentation et votre traitement, n’hésitez pas à en parler à votre médecin qui pourra vous orienter vers un diététicien.
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Communiqué de presse
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Si 73% de la population sait qu’il existe des traitement contre l’hépatite C, 66% ne sait pas que l’on peut guérir de cette maladie. « Or, pour l’hépatite C on a des traitements avec des combinaisons thérapeutiques à 2 ou à 3 molécules qui permettent de guérir quasiment 3 patients sur 4, et ça c’est une grande révolution » explique le Dr Pascal Mélin, médecin et co-fondateur de SOS-hépatites. « On peut en guérir… mais la première étape c’est de se savoir porteur de la maladie et d’être dépisté. Or, on sait qu’en France, plus de 40% des porteurs du virus de l’hépatite C sont des malades qui s’ignorent » insiste le médecin. Selon un sondage qui avait été mené en mars dernier par l’association, un Français sur 3 pense avoir pu connaître dans le passé une situation de contamination possible par le virus de l’hépatite C mais parmi ces derniers, un sur 2 n’a jamais fait de dépistage.